Pourquoi l’ingénierie de plateforme devient incontournable ? Quels sont les points de vigilance lors de sa mise en œuvre ? Dans un écosystème technologique en constante évolution, les pratiques DevOps se sont érigées comme la référence incontournable au sein de nombreuses organisations. En fusionnant développement (Dev) et opérations (Ops), le DevOps visait à harmoniser et accélérer la production logicielle. Toutefois, malgré ses avancées significatives, l’approche du “You Build it, You Run it”, en français “Vous le construisez, vous l’exploitez”, atteint des limites, conduisant à des équipes épuisées et à des systèmes sclérosés. Face aux challenges de la production applicative et à un écosystème d’outils de plus en plus dense, l’ingénierie de plateforme (platform engineer) a fait son apparition en promettant une approche plus adaptée aux exigences actuelles des développeurs. Dans cet article, nous plongerons dans cette transition, nous décrypterons les limites du modèle DevOps traditionnel et mettrons en lumière le potentiel de l’ingénierie de plateforme comme prochain jalon de l’évolution du développement logiciel.
Le modèle DevOps “You Build it, you Run it” est une approche qui a gagné les faveurs de nombreuses organisations, séduites par sa promesse d’une meilleure intégration entre le développement et les opérations. Au cœur de cette philosophie, nous retrouvons l’idée que les équipes, qu’elles soient composées de développeurs ou d’ingénieur DevOps, devraient non seulement construire le logiciel, mais aussi être responsables de son déploiement, de son exécution et de son maintien en condition opérationnelle. Si cette approche visait à harmoniser le développement et les opérations pour un processus plus fluide et intégré, elle a montré ses limites avec le temps.
Épuisement des équipes : Qu’ils soient développeurs ou DevOps, cette approche induit une charge mentale et une charge de travail importante au niveau des équipes. La nécessité de jongler entre des activités de programmation, de Q/A, d’intégration, de déploiement, de résolution d’incident et de contrôle de la performance conduit les équipes à l’épuisement et à une perte d’efficacité liée au changement régulier de contexte.
Durabilité mise à l’épreuve : Si l’efficacité du modèle a démontré son efficacité à court terme, sa robustesse est remise en question à long terme. En devenant plus sophistiqués, les systèmes et applications occasionnent des tâches de maintien en condition opérationnelles plus conséquentes, entraînant des risques d’incidents plus élevés.
Obstacle à l’innovation : La charge de travail inhérente à ce modèle peut freiner l’adoption de nouvelles technologies ou méthodologies. Les équipes, de développement ou DevOps, peuvent hésiter à intégrer de nouvelles technologiques par peur des responsabilités additionnelles qui en découlent.
Dilution de l’expertise : En exigeant une polyvalence extrême des équipes, le modèle peut compromettre les apports de la spécialisation. La nécessité de couvrir un large éventail de responsabilités peut conduire à une approche généraliste, au détriment de l’expertise spécifique dans des domaines clés telle que la cybersécurité ou l’infrastructure.
En synthèse, bien que le modèle “You Build it, you Run it” présente des avantages, il présente des limites qu’il faut savoir identifier au risque de compromettre l’agilité globale de l’organisation, sa capacité à conserver ses ressources, à innover et à apporter une application stable et sécurisée. C’est pour répondre à ces difficultés que l’ingénierie de plateforme est née.
L’ingénierie de plateforme se focalise sur la mise à disposition d’un catalogue d’outils, de services et de pratiques au service des développeurs. Soulagés des sujets d’infrastructures, de R&D, d’intégration et d’interopérabilité des services et outils, les développeurs deviennent les utilisateurs d’une plateforme gérant l’ensemble du cycle de vie logiciel.
Composants et synchronisation : Cette discipline se caractérise par la construction de composants distribués et synchronisés. Qu’il s’agisse de micro-services, de conteneurs ou d’autres composants, ils sont conçus pour opérer ensemble, être déployés, mise à l’échelle et surveillés de façon simplifiée et automatisé.
Plateforme centrée sur les besoins : Si les premiers clients de l’ingénierie de plateforme sont les développeurs, elle répond également au besoin spécifique d’autres populations expertes tel que les data scientiste. En proposant des outils sur mesure, adaptés à leur flux de travail et des interfaces intuitives elle permet d’amplifier la productivité en livrant plus rapidement les architectures, composants et outils dont chaque expert à besoin.
Cohérence, Évolutivité et adaptabilité : Tout en instaurant une cohérence opérationnelle, l’ingénierie de plateforme offre un environnement où les développeurs et experts peuvent travailler en faisant abstraction des considérations opérationnelles.
L’ingénieur de plateforme orchestre la mise en place de la plateforme de développement interne (internal developer platform : IDP). Ces plateformes sont conçues pour faciliter le travail des développeurs, offrant des outils et des services qui accélèrent la production logicielle tout en garantissant sécurité, performance et fiabilité.
Enfin, l’ingénieure de plateforme garantit l’évolutivité, l’interopérabilité et la scalabilité des systèmes. Qu’il s’agisse de traiter une augmentation du trafic ou d’adopter de nouvelles technologies, la plateforme évolue en conséquence.
En somme, l’ingénierie de plateforme apparaît comme une réponse adaptée aux défis posés par le modèle traditionnel de DevOps. En mettant l’accent sur la fourniture d’outils intégrés, l’efficacité opérationnelle et la réduction de la complexité, elle offre une voie intéressante pour les organisations qui cherchent à optimiser leurs processus de développement, d’intégration, de déploiement et de maintien en conditions opérationnelles.
L’évolution rapide des technologies et le besoin constant d’innovation ont conduit à une explosion du nombre d’outils disponibles pour les équipes de développement. Alors que l’ingénierie de plateforme vise à simplifier et à rationaliser le processus de développement, le paysage des outils lui-même est devenu de plus en plus complexe. Dans ce contexte, comprendre et naviguer dans cet écosystème d’outils est devenu un enjeu majeur.
Au sein de ce paysage technologique, nous trouvons, par exemple, les systèmes d’orchestration tels que Kubernetes, des solutions de gestion des données comme MySQL ou MongoDB et des frameworks et APIs comme Spring Boot pour Java ou Express pour Node.js. À cela s’ajoutent les technologies d’infrastructure as Code, représentées par Terraform, Bicep, Pulumi, et les processus automatisés de CI/CD via des outils tels que ArgoCD, Gitlab CI ou Github Action.
Chaque intégration au sein de l’écosystème technique doit être soigneusement évaluée en fonction d’une multitude de paramètres :
1. Le défi de la spécialisation
Avec l’intégration de nouveaux outils, la spécialisation des ressources devient inévitable. Bien que bénéfique, elle peut conduire à la création de silos technologiques et à la création des dépendances fortes vis-à-vis de certains profils en tension sur le marché.
2. L’harmonisation des outils et de la sécurité
L’ingénierie de plateforme doit créer en écosystème d’outils et de processus cohérents et sécurisés. Il est crucial d’établir des standards et des normes pour garantir le respect des bonnes pratiques et assurer la sécurité, le contrôle et la conformité des environnements.
3. R&D et évolutions du secteur
L’innovation ne s’arrête jamais. Les ingénieurs de plateforme doivent continuellement évaluer, tester et intégrer de nouveaux outils pour permettre aux organisations de garder une longueur d’avance en adoptant les technologies et méthodologies qui seront la différence.
4. L’importance de la synergie des équipes
L’intégration d’outils n’est pas qu’une simple question technique. C’est un effort collaboratif qui nécessite la coordination de l’ensemble des équipes techniques (ingénieurs plateforme, architectes, DevOps, SRE, Développeurs et spécialistes de la sécurité).
En synthèse, le monde de l’ingénierie de plateforme est riche en outils et en innovations et requiert une stratégie de mise en œuvre réfléchie. L’implémentation réussie de l’ingénierie de plateforme demande une vision claire de ses besoins, une collaboration interdisciplinaire, une rigueur forte dans le respect des normes et des standards et une adaptabilité constante pour répondre aux évolutions rapides des technologies et de son industrie.
Dans le monde idéal de l’ingénierie de plateforme, tous les outils et processus fonctionneraient en parfaite harmonie, offrant une expérience de développement fluide et intégrée. Cependant la prolifération des outils et des technologies a complexifié le paysage, rendant l’objectif d’une intégration sans faille une chimère technologique.
Cette partie met en lumière les défis, les compromis et les stratégies possibles pour la quête d’une intégration optimale.
1. L’attrait irrésistible de l’intégration totale
L’idéal d’un ensemble d’outils fonctionnant en harmonie est séduisant : augmentation de la productivité, réduction des erreurs, expérience ultime pour les équipes de développement, automatisation, sécurisation , etc. Cette vision utopique se heurte à la réalité d’un paysage technologique en constante évolution, aux niveaux d’expertises nécessaires et aux limites financières des organisations.
2. Les embûches de l’intégration
La complexité s’accroît à mesure que de nouveaux outils font leur apparition, chacun avec sa propre architecture et ses spécificités. Assurer une intégration parfaite devient alors un défi colossal. De plus, la nécessité de maintenir et d’adapter constamment les intégrations implique des coûts non négligeables, tant en termes de temps que de ressources.
3. L’équilibre précaire entre autonomie et intégration
Les développeurs, en quête d’outils qui maximisent leur efficacité, peuvent se retrouver en porte-à-faux avec la vision intégrée de l’entreprise. D’un côté, l’aspiration à l’indépendance pour être libre de choisir les outils pour optimiser leur productivité, de l’autre, le besoin d’harmonie et de sécurité systémique de l’entreprise. Cette dynamique met en lumière la nécessité d’une négociation continue au sein même des équipes techniques pour trouver le meilleur équilibre entre autonomie et intégration.
4. Vers des solutions d’intégration partielles
Face à ces défis, de nombreuses organisations se tournent vers des intégrations partielles. Elles sélectionnent des outils qui s’harmonisent, tout en conservant une marge de manœuvre là où c’est nécessaire, offrant ainsi un compromis entre cohérence et flexibilité.
5. Le rôle crucial de l’ingénierie de plateforme
Dans ce contexte, les ingénieurs de plateforme deviennent des acteurs clés. Ils ont la responsabilité de comprendre les besoins des développeurs et des autres membres des équipes techniques, d’évaluer les outils à disposition et de guider l’organisation vers des solutions d’intégration qui maintiennent un équilibre optimal entre autonomie et intégration.
6. Repenser la notion d’intégration totale
Peut-être faut-il revisiter l’objectif de l’intégration totale, en faveur d’une intégration “optimale”. Plutôt que de chercher à tout intégrer à la perfection, viser une intégration qui allie efficacité, flexibilité et robustesse pourraient s’avérer être une approche plus réaliste et avantageuse.
En conclusion, alors que l’intégration totale reste un idéal séduisant, elle se heurte à une réalité complexe et en constante mutation. Les organisations gagneraient à adopter une démarche pragmatique, en quête de solutions d’intégration qui répondent de manière équilibrée aux besoins réels des développeurs et aux exigences du marché. En faisant preuve de souplesse et d’adaptabilité, et en plaçant les ingénieurs de plateforme au cœur de cette démarche, il est possible de naviguer avec succès dans le paysage complexe des outils d’ingénierie de plateforme.
L’adoption de l’ingénierie de plateforme, bien que porteuse d’efficacité et de productivité améliorée, pose des défis techniques importants. L’expertise nécessaire pour répondre à ces défis, combinés à la nécessité d’investissements et de ROI, nécessite une approche réfléchie et une évaluation minutieuse.
1. La complexité des architectures modernes
Les architectures basées sur des microservices, bien que scalables, ajoutent une complexité en termes de gestion, de surveillance et de sécurité. Assurer une communication fluide entre ces services tout en garantissant des temps de réponse rapides est un défi constant.
2. Sécurité et conformité
Avec la multiplication des points d’accès dans une architecture distribuée, les questions de sécurité et de conformité prennent de l’ampleur. Chaque service, chaque conteneur et chaque API sont une porte potentielle pour les menaces.
3. Interopérabilité des outils
L’écosystème technologique est vaste. Assurer que différents outils et technologies fonctionnent parfaitement ensemble nécessite une expertise approfondie et des tests rigoureux.
4. Coûts cachés et ROI
Tout nouvel outil ou technologie peut venir avec des coûts indirects : formation des équipes, maintenance, intégration avec des systèmes existants. Évaluer le véritable retour sur investissement (ROI) nécessite une vision holistique qui prend en compte ces coûts cachés.
5. Éviter la précipitation technologique
La pratique visant à suivre chaque nouvelle tendance technologique peut conduire à des investissements prématurés. Les décisions d’investissement doivent être basées sur des besoins réels (présent ou futur) et non sur un “effet de mode” technologique.
6. Formation et mise à niveau des compétences
La technologie évolue, et avec elle, les compétences nécessaires. Assurer que les équipes sont formées et au fait des dernières pratiques est crucial pour maximiser l’efficacité de tout investissement technologique.
En somme, l’ingénierie de plateforme, tout en offrant d’énormes avantages, nécessite une de la prudence et une vision claire des défis techniques à relever. Les décisions d’investissement doivent être réfléchies, en pesant soigneusement les avantages et les coûts d’intégration d’un nouvel outil sur sa roadmap technologique.
L’ingénierie de plateforme, au-delà des outils, des technologies et des défis qu’elle présente, repose sur une philosophie et une vision centralisée. Elle vise à transformer la manière dont les équipes de développement, DevOps et SRE coopèrent pour concevoir, développer, déployer et maintenir des applications. Complétons cet article sur ce qui constitue réellement l’essence de cette discipline :
1. Faciliter le développement
L’objectif premier de l’ingénierie de plateforme est de simplifier le processus de développement pour les équipes. En fournissant une plateforme robuste et bien conçue, les développeurs peuvent se concentrer sur le code et l’apport de valeur.
2. L’intégration comme pilier
Au cœur de cette discipline se trouve l’intégration. L’intégration d’outils permettant d’assurer un flux de travail cohérent, de faciliter l’intégration, le déploiement et la mise à l’échelle des applications.
3. L’automatisation pour la cohérence
L’ingénierie de plateforme met l’accent sur l’automatisation pour garantir des cycles de développement plus rapides, mais aussi plus fiables et cohérents. L’automatisation est au cœur de tous les processus, de la mise en place de l’infrastructure à la livraison continue.
4. Une vision centrée sur l’utilisateur
Bien que technique dans sa nature, l’ingénierie de plateforme est profondément centrée sur l’utilisateur. Elle vise à améliorer l’expérience des développeurs, à accélérer les cycles de livraison et à garantir que les applications répondent aux besoins des utilisateurs finaux.
5. La flexibilité et l’évolutivité
Les plateformes de développement internes ainsi conçues doivent être à la fois flexibles, pour s’adapter aux besoins changeants, et évolutives, pour gérer la croissance. Cela implique non seulement d’utiliser les bonnes technologies, mais aussi d’adopter une approche modulaire et extensible.
6. La responsabilité de bout en bout
L’adage “You Build It, You Run it” s’est donc déplacé du développeur vers l’ingénierie de plateforme. Elle sous-tend une responsabilité de bout en bout, où les équipes d’ingénierie de plateforme sont responsables du cycle de vie complet de la plateforme de développement interne, assurant la cohérence, la maintenance et l’évolution des outils mis en place.
7. Collaboration et communication
Les meilleures plateformes sont le fruit d’une collaboration étroite entre les ingénieurs de plateforme, les développeurs, les DevOps, les SRE, les opérations et d’autres parties prenantes techniques. La communication ouverte et le partage de connaissances sont essentiels pour garantir que la plateforme de développement interne évoluera en fonction des besoins.
En conclusion, l’ingénierie de plateforme est une philosophie qui vise à transformer la manière dont les applications sont conçues et gérées. Elle place les besoins des développeurs et des utilisateurs au centre, tout en cherchant constamment à innover et à améliorer.
Caractéristiques | DevOps | Ingénieur Plateforme | SRE | Développeur |
---|---|---|---|---|
Objectif principal | Optimiser le processus de développement. | Optimiser la rapidité et l'efficacité des opérations de distribution de logiciels. | Optimiser la rapidité et l'efficacité des opérations de distribution de logiciels. | Écrire et améliorer le code de l'application. |
Focus | Réduire le temps entre les versions et améliorer la qualité des versions. | Améliorer l'expérience et la productivité du développeur à travers une plateforme partagée. | Assurer la fiabilité, la réponse aux incidents et la gestion de l'infrastructure. | Conception, codage, débogage et test des applications. |
Portée | Processus de développement complet. | Activités liées à la distribution de logiciels. | Fiabilité des applications, réponse aux incidents et gestion de l'infrastructure. | Cycle de vie du développement de l'application. |
Outils spécifiques | Outils de build, de surveillance, de test, d'automatisation. | Kubernetes, Crossplane, Gitlab CI, ArgoCD, Docker, Terraform. | Outils de chaos engineering, gestion des SLO, réponse automatique aux incidents. | IDEs, outils de test, bibliothèques de programmation. |
Méthodes | Automatisation et visualisation. | Services et outils réutilisables pour diverses équipes d'ingénierie. | Méthodes d'ingénierie du logiciel pour améliorer la fiabilité. | Méthodes de programmation, algorithmes, structures de données. |
Metrics | Temps de réponse, taux d'erreur, disponibilité. | Efficacité de la distribution, temps de déploiement. | Temps de réponse, taux d'erreur, disponibilité, SLOs. | Qualité du code, bugs, performances. |
Collaboration | Communication et collaboration entre dev et ops. | Travail en étroite collaboration avec les équipes de développement. | Collaboration étroite avec les équipes de développement et d'opérations. | Travail avec d'autres développeurs, QA, etc. |
Évolution & défis | Émergence en réponse aux silos entre dev et ops. Défis liés à l'automatisation. | Évolution du DevOps pour répondre aux besoins d'une meilleure expérience développeur. | Émergence pour s'attaquer aux problèmes de fiabilité dans des environnements complexes. Défis liés à la gestion de la fiabilité. | Adaptation continue aux nouvelles technologies et méthodologies. |
Aspects culturels | Culture de collaboration, partage et automatisation. | Culture d'efficacité, d'automatisation et de réutilisabilité. | Culture de fiabilité, responsabilité et excellence technique. | Culture d'innovation, de créativité et de résolution de problèmes. |
L’ingénierie de plateforme est bien plus qu’une simple tendance technologique; elle représente une évolution majeure dans la manière dont les entreprises abordent le développement et la gestion des applications. En mettant l’accent sur l’intégration, l’automatisation, la responsabilisation et surtout sur la création d’une expérience centrée sur le développeur, elle vise à combler le fossé entre le développement et les opérations. Toutefois, comme pour toute innovation, elle présente ses propres défis et nécessite une approche pragmatique. En fin de compte, l’ingénierie de plateforme, lorsqu’elle est correctement mise en œuvre, a le potentiel d’améliorer la capacité des équipes techniques à délivrer des applications, à innover et in fine à augmenter la valeur ajoutée pour les utilisateurs finaux. À mesure que le paysage technologique évoluer, il sera passionnant de voir comment cette discipline s’adapte et continue de façonner l’avenir du développement logiciel.
Je vous partage la tendance Gartner sur le sujet :
Gartner Top Strategic Technology Trends for 2023. (n.d.). [Video]. Gartner. https://www.gartner.fr/fr/articles/qu-est-ce-que-l-ingenierie-de-plateforme